«Séquences climatiques»
Bonjour
Douze jours de beau temps en continu et cela n'est pas fini. Du vrai beau temps! Du ciel magnifiquement bleu. Pas le moindre souffle à l'horizon. Pas le moindre nuage. Bref! Une séquence de beau temps absolument très longue. Cela ne se voyait pas autrefois. C'est ce qui a changé dans notre climat. Les séquences de beau ou mauvais temps se sont considérablement allongées. Cela provoque, en cas de mauvais temps, des séquences catastrophiques et répétées jamais vues, de mémoire d'homme, sous nos cieux. Paris a failli être submergée deux fois en moins de quatre ans. L'arrivée exceptionnellement répétée de pluies diluviennes très intenses a fini par déjouer tous les pronostics et fait déborder les nombreux barrages de retenu, placés judicieusement en amont du fleuve qui irrigue notre capitale.. Même constat pour les épisodes calamiteux que l'on nomme «Cévenol». Ceux-ci se sont souvent manifestés dans le passé, mais leur intensité se trouve souvent décuplée, à l'heure actuelle. D'après les spécialistes, c'est l'élévation de la températures de la Méditerranée qui est responsable de ce désastre sur les départements du bord de la «Grande Bleue». Toujours une affaire de thermomètre et de Celsius qui perdent la tête. Le coupable est très vite débusquée. Le réchauffement climatique ne peut plus nous cacher ses forfaitures. Les sécheresses et les canicules deviennent dommageables pour certains d'entre nous, parce que abusivement trop longues dans la durée. On nous avait prévenu, le réchauffement climatique se manifesterait sournoisement sous toutes sortes de formules funestes à notre environnement. Pas nécessairement par une élévation de la température si nécessaire au beau temps qui comble d'aise touristes et vacanciers, mais par un dérèglement général du climat planétaire.
 bientôt
Les carnets de Jules Hostouley
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